En berne dans les sondages, la candidate socialiste a durci ses attaques contre son adversaire.
C’est en Bretagne que Ségolène Royal a brûlé ses dernières cartouches. La candidate socialiste a clos sa campagne présidentielle en qualifiant Nicolas Sarkozy de « danger pour l'unité de la République ». Elle a d’ailleurs désigné d’autres cibles, parmi lesquelles les « sondages relayés par les médias amis du pouvoir ». Une attaque relayée par Julien Dray et Mazarine Pingeot.
« Mon combat est au corps à corps avec vous, à votre contact », a ajouté la candidate. Une offensive menée avec un sourire qui contrastait avec la mine sombre de son état-major. « Cela va être très difficile », a confié son directeur de campagne, Jean-Louis Bianco.
« Rien n’est gagné »
A l’autre bout de la France, Nicolas Sarkozy, plus que jamais favori des sondages à deux jours du scrutin, a souhaité afficher sa « sérénité ». Sur le plateau de Glières, en Haute-Savoie. Costume sombre, visage grave, il rejoint seul et à pied, par un chemin de gravier, le monument érigé à la mémoire de Tom Morel, chef du "bataillon des Glières". Avec le fils de celui-ci, il y dépose une gerbe et se recueille quelques instants. « Dans cette montagne, on a résisté à mains nues contre l'envahisseur et contre des Français qui avaient trahi l'idée de la France, qui étaient devenus des ennemis de la France », a déclaré Nicolas Sarkozy.
Quant à son adversaire, il a estimé qu’elle « termine un peu dans la violence, dans une certaine forme de fébrilité », et appelle au « respect et à l'apaisement ». Malgré les sondages, Nicolas Sarkozy s’est voulu prudent, au terme d'une campagne qu'il juge « harassante ». « Il faut attendre sereinement dimanche, d'ici là rien n'est gagné ».
C’est en Bretagne que Ségolène Royal a brûlé ses dernières cartouches. La candidate socialiste a clos sa campagne présidentielle en qualifiant Nicolas Sarkozy de « danger pour l'unité de la République ». Elle a d’ailleurs désigné d’autres cibles, parmi lesquelles les « sondages relayés par les médias amis du pouvoir ». Une attaque relayée par Julien Dray et Mazarine Pingeot.
« Mon combat est au corps à corps avec vous, à votre contact », a ajouté la candidate. Une offensive menée avec un sourire qui contrastait avec la mine sombre de son état-major. « Cela va être très difficile », a confié son directeur de campagne, Jean-Louis Bianco.
« Rien n’est gagné »
A l’autre bout de la France, Nicolas Sarkozy, plus que jamais favori des sondages à deux jours du scrutin, a souhaité afficher sa « sérénité ». Sur le plateau de Glières, en Haute-Savoie. Costume sombre, visage grave, il rejoint seul et à pied, par un chemin de gravier, le monument érigé à la mémoire de Tom Morel, chef du "bataillon des Glières". Avec le fils de celui-ci, il y dépose une gerbe et se recueille quelques instants. « Dans cette montagne, on a résisté à mains nues contre l'envahisseur et contre des Français qui avaient trahi l'idée de la France, qui étaient devenus des ennemis de la France », a déclaré Nicolas Sarkozy.
Quant à son adversaire, il a estimé qu’elle « termine un peu dans la violence, dans une certaine forme de fébrilité », et appelle au « respect et à l'apaisement ». Malgré les sondages, Nicolas Sarkozy s’est voulu prudent, au terme d'une campagne qu'il juge « harassante ». « Il faut attendre sereinement dimanche, d'ici là rien n'est gagné ».
C’est en Bretagne que Ségolène Royal a brûlé ses dernières cartouches. La candidate socialiste a clos sa campagne présidentielle en qualifiant Nicolas Sarkozy de « danger pour l'unité de la République ». Elle a d’ailleurs désigné d’autres cibles, parmi lesquelles les « sondages relayés par les médias amis du pouvoir ». Une attaque relayée par Julien Dray et Mazarine Pingeot.
« Mon combat est au corps à corps avec vous, à votre contact », a ajouté la candidate. Une offensive menée avec un sourire qui contrastait avec la mine sombre de son état-major. « Cela va être très difficile », a confié son directeur de campagne, Jean-Louis Bianco.
« Rien n’est gagné »
A l’autre bout de la France, Nicolas Sarkozy, plus que jamais favori des sondages à deux jours du scrutin, a souhaité afficher sa « sérénité ». Sur le plateau de Glières, en Haute-Savoie. Costume sombre, visage grave, il rejoint seul et à pied, par un chemin de gravier, le monument érigé à la mémoire de Tom Morel, chef du "bataillon des Glières". Avec le fils de celui-ci, il y dépose une gerbe et se recueille quelques instants. « Dans cette montagne, on a résisté à mains nues contre l'envahisseur et contre des Français qui avaient trahi l'idée de la France, qui étaient devenus des ennemis de la France », a déclaré Nicolas Sarkozy.
Quant à son adversaire, il a estimé qu’elle « termine un peu dans la violence, dans une certaine forme de fébrilité », et appelle au « respect et à l'apaisement ». Malgré les sondages, Nicolas Sarkozy s’est voulu prudent, au terme d'une campagne qu'il juge « harassante ». « Il faut attendre sereinement dimanche, d'ici là rien n'est gagné ».